L’U2P souhaite également que le gouvernement envisage une prise en charge des pertes d’exploitation subies par les entreprises artisanales, commerciales et libérales, si besoin par l’intermédiaire des compagnies d’assurance.
De son côté, La CPME a fait valoir la nécessité de mobiliser d’autres secteurs du monde économique, qu’il s’agisse du secteur bancaire, des assurances ou des bailleurs, qui doivent être tous conscients de la fragilité des petites entreprises. Une demande déjà formulée par 5 fédérations du commerce dans un communiqué commun.
François Asselin, son président, présent à cette réunion, a également suggéré que les pouvoirs publicis puissent, dans certains cas, prendre en charge la part de financement restant à l’employeur en cas de chômage partiel.