Pour ces organisations, « face à la multiplication de ces pratiques illégales et aux manques de moyens des services et de contrôles, il devient urgent de pouvoir modifier la règlementation et faire cesser ces ventes sauvages en donnant un pouvoir accru et une plus grande marge de manoeuvre aux maires des communes touchées sur ce fléau ».
C’est pour quoi elles appellent les sénateurs, qui doivent examiner le projet de loi pour » l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable » , à partir du 26 juin, à modifier la réglementation actuelle et ainsi permettre de faire stopper ces pratiques qu’elles considèrent « néfastes et illégales ».